samedi 7 janvier 2023

 04 janvier 2023,

Bonne année à toutes et tous !!!

La transition 2022/2023 se fait entre Marie Galante et la Guadeloupe, dont le surnom est Karukera (l’île aux belles  eaux) que l’on retrouve dans la chanson de Laurent Voulzy.

Quel contraste entre Terre de bas, Marie galante et la Guadeloupe. Le territoire est plus grand, certes, mais la circulation et ses inconvénients nous ramènent un peu trop vite vers l’ambiance de la métropole ! Le calme des îles précédentes nous manque déjà et nous nous posons la question de  savoir si l’on a fait le bon choix dans l’itinéraire. Mais bon, prenons les choses comme elles viennent et  ne  nous plaignons pas du bien être que  nous vivons !!!

La météo ne nous aide pas non plus et la saison sèche prend un certain retard car il pleut tous les jours. Pas tout le temps heureusement mais une averse tropicale de quelques minutés peut rapidement remplir un arrosoir pour donner une idée à ceux qui ne connaissent pas ces latitudes . Ce n’est pas trop contraignant pour explorer la Grande Terre côté Est car elle est moins tropicale et  moins haute que sa voisine, Basse  Terre, où  règne en maître le volcan La Soufrière, point culminant des petites Antilles à 1467 mètres. Nous en avons aperçu le sommet lors de notre arrivée le 07 décembre alors que le vent de Nord avait soufflé les nuages, découvrant le haut du cratère et ses fumerolles menaçantes.

Nous avons donc lentement (façon antillaise), commencé notre visite de l’île par la pointe des châteaux, là bas tout à l’Est, face à La Désirade et devant des couleurs de lagon dont on ne se lasse jamais.


Suivant l’endroit et l’exposition par rapport à l’océan Atlantique ou la mer des Caraïbes le littoral a des allures bien différentes comme sur les vidéos suivantes, où l’on passe du paisible et baignable au furieux et dangereux.




Pas ou peu de surveillance de baignade donc il faut bien se renseigner avant sur la dangerosité des plages et surtout des courants traîtres.

La mer nous offre quelques belles images sous marines où les poissons coffres, perroquets et autres nous régalent de leurs couleurs, de leur fluidité et rapidité de déplacement.



La mer nous apporte également son lot de poissons et de crabes qui finiront dans l’assiette (en feuille de bananier au four ou en friture pour le poisson).

Les nombreux pélicans n’ont pas de patience pour la friture et s’approvisionnent directement, grâce à un œil bien aiguisé pour la pêche.



Le dernier cyclone, Fiona, a laissé des traces de son passage et certaines plages ou bâtisses en gardent des cicatrices marquantes.





1 commentaire:

  1. Très belles images dont on ne se lasse pas ! Bravo au cameraman ! Adishatz

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